ÊTRE HUMAIN, CONNAIS-TOI TOI-MÊME!

Découvre-toi
et maîtrise-toi, tu maîtriseras ta destinée.
La quête suprême est LA PLEINE RÉALISATION DE SOI.
Être soi-même, croire en soi même!a
"Être ou ne pas Être. C'est ça la question" !
Apprenons à cultiver la joie et l'amour de soi pour
l'intérêt de tous
Outils et recettes
pratiques de réalisation de soi pour une vie meilleure


Ce Blog était mon éléphant! Maintenant, suis-je devenu un papillon?



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vendredi 26 août 2011

Lâche un peu ta quête et cultive le bonheur.


C'est le Paradoxe de la clé ultime de la réussite: Lâche un peu ta quête et cultive la paix intérieure. Déguste ta ration de joie au quotidien et tous tes désirs s'accompliront de surcroit! Ca ira comme sur des roulettes!
Là, réside l'énigme de la leçon finale.
Beaucoup de gens de bonne foi, de grande volonté et ouverture d’esprit ont lamentablement échoué après tant d’années de quête acharnée pour la réussite et le succès. Qu’est ce qu’ils n’ont pas compris ? Qu’est ce qu’ils n’ont pas fait ?
Pourtant, tout parait simple. La sagesse antique nous dit : demandez et il vous sera donné. Mais celui qui ne sait pas prendre reviendra bredouille ! Voici le revers de la médaille qu’on n’aime pas voir. Je vous l’assure.
Car à ‘Walt Disney world‘ comme à la ronde, c’est un self-service. À la naissance, ta carte d’entrée au manège est déjà payée. À toi de prendre part et te servir. Tu n’es pas né pour rester bébé, tout le temps servi à la bouche.
Il y a donc trois fonctions : la demande, la réponse et la réception. Je vous explique plus en détail ce qu’a divulgué brièvement l’intelligence suprême à travers les prophètes authentiques.

1/ Il n’est pas nécessaire de demander verbalement, car le simple désir est universellement reçu et compris. La vie est un ‘match’ vibrationnel ou un alignement, si vous préférez /Loi d’attraction.
2/ Il vous sera automatiquement donné, parce que « avant même que vous formuler une demande, celle ci est répondue ». Tout ce que vous désirez de bien et qui ne fait de mal à personne, est automatiquement accordé parce que l’univers est infini et surabondant. Dieu n’a jamais cessé de créer. L’énergie n’a besoin que d’une forme pensée précise et active pour se matérialiser à la satisfaction de la source.

Ce qui demeure flou et souvent pris pour le secret du secret, c’est la fonction de recevoir et de prendre possession de ce qui est donné. Bien des gens expriment leur désir et le visualisent et vont jusqu’à magnétiser la manifestation sans le moindre résultat. Il y a de quoi se décourager, se croire exclu ou s’arracher les cheveux. Parce que ça marche prodigieusement bien pour d’autres.

3/ La pierre d’achoppement est justement ce paradoxe de la fonction de recevoir. C’est là où la conscience humaine se bute à son incapacité de recevoir même ce qu’elle désire de plus élevé et expressément demandé. Pourquoi ?
Le mental humain est contradictoire et le subconscient est irrationnel. On est foncièrement dualiste. On résiste même à ce qu’on désire le plus ! On veut la vérité, mais pas toute la vérité, on en a peur. On a peur de la lumière, peur de l’amour … etc. On dirait qu’on ne veut pas ce qu’on veut. On n’aime pas ce qu’on aime et on ne désire pas ce qu’on désire !!! Quel Dieu pourra nous satisfaire?

Il y a quatre éléments sous-jacents à cette fonction de recevoir, prendre et manifester:
A - Tout d’abord croire à la possibilité, que c’est tout à fait possible et, se convaincre soi-même de cette possibilité. (développer et écrire une douzaine de raisons qui le justifient)

B - croire qu’on le mérite parfaitement et se convaincre soi-même de toutes les raisons pourquoi c’est bien mérité. (Développer et écrire une douzaine de raisons qui le justifient). À fortiori, on mérite tout le bien, par ce qu'on est et non par ce que l'on fait. Tu es un être fondamentalement bon et tu trouveras une bonne intention derrière tout ce que tu aurais fait, même tes erreurs.
C - accepter le manque, qui a longtemps précéder la manifestation. Il s’agit de se concilier profondément avec la cause même du manque ou la source apparente de la souffrance.
Oui cela veut bien dire : se concilier avec la pauvreté si on est pauvre, se concilier avec la maladie si on est souffrant, pour ne citer que ces deux exemples. Il faut non seulement tirer la leçon de ce qui ne va pas jusqu’ici, mais pardonner à soi et à tous, d’avoir contribué à la manifestation du manque ou de la souffrance. Toutefois, ce pardon n’est jamais entier s’il ne se transforme en gratitude, appréciation et amour !! Cela paraît paradoxal et même absurde qu’on ne puisse vraiment se libérer de quelque chose ou de quelqu’un, sans trouver des raisons pour l’aimer à nouveau ! Mais il faut se rendre à l’évidence. Oui, je dis bien, l’aimer et le remercier pour toutes ces souffrances qui nous ont fait devenir !

Devenir quoi ? _ Devenir la personne que nous sommes rendus aujourd’hui, en qualité, en maturité, en sagesse et en sensibilité. Inutile de vous dire de remercier la pauvreté de vous avoir rendus si humble, ou de remercier la maladie de vous avoir appris la compassion. Cela va de soi, mais il s’agit de contempler toutes les facettes de la question par soi-même avant de décoller... Cultiver la paix intérieure d'abord!
Il s’agit de trouver mille et une raisons pour lesquelles on peut dire sincèrement merci à la cause apparente du mal… pour tout ce que cela nous a conféré en raffinement de qualités humaines. Il y a de quoi être fier des qualités intérieures si vives et pétillantes qui ne demandent maintenant qu’à jaillir en abondance, générosité et compassion pour l’intérêt de tous.

Tout ce processus se fait en silence, dans le secret et la contemplation positive qui transcende les habitudes de la conscience humaine limitée, discordante et abrutie.
En toute chose négative comme en toute personne réside un aspect très positif à considérer, reconnaître et apprécier afin de changer sa perception du mal et reconnaître, que ce fut un mal pour un plus grand bien !
Merci la vie pour ceci, merci la vie pour cela … Se pardonner soi-même pour ses responsabilités et toutes ses erreurs passées. Ne serait-ce que pour ce choix fâcheux d’apprendre les plus belles qualités à travers la souffrance au lieu de les apprendre autrement. Il faut nécessairement s’aimer soi-même sincèrement et entièrement tel qu’on est devenu maintenant.
Celui qui ne s’aime pas est démagnétisé et ne peut capturer ni recevoir ce qu’il a commandé. Il faut que le trésor intérieur jaillisse et émerge dans la conscience au point de devenir la seule réalité magnétique observable dont on peut déjà être si fier. Arrêter de se juger et, bien reconnaître sa bonne intention en toute décision parole et action.

Dans ce nouvel état de conscience, le changement tant souhaité n’est plus qu’une préférence et un choix délibéré de passer à autre chose de plus joyeux, intéressant et vivifiant. Lorsque ce n’est plus question de ‘’se sauver de l’enfer et lapider ces démons qui nous ont tant torturés’’, on découvrira que la porte du bonheur est toute ouverte et qu’en réalité, on s’était enfermé tout seul de l’intérieur, en semblant oublier ou perdre la clé. Ce ne fut donc qu’une maladie imaginaire ou une transe hypnotique que le soleil de la vie vient de dissiper !
Voilà tout. L’énigme est levée maintenant. Plus de paradoxe ! Aucun… Alors que reste-t-il ?

D – Il reste l’acte de foi qui manifeste le vœu du cœur. C’est là où culmine la fonction de prendre Il s’agit de commencer à faire la moindre petite chose de la manière la plus élevée, la plus positive, enjouée et enthousiaste. Continuez ainsi tout en surveillant les signes et les opportunités de changement. Car la chance favorise ceux qui sont prêts à la saisir.

En conclusion, le but dans la vie étant la paix , la joie et le bonheur, il est question de commencer par la fin. Autrement dits commencer par être heureux !
_ J’ai toujours résisté à cette espèce d’auto duperie. Comment être heureux avant d’atteindre son objectif ? Je soufre actuellement ?
_ Nous savons que les deux extrêmes se joignent. Alors le cas extrême où l’on se trouve actuellement, est certainement le plus proche de l’autre extrême qu’on désire si ardemment atteindre. Dès le moment où on lâche prise, et l’on accepte sincèrement l’état de fait, on n’aura plus peur d’aller au-delà de cette extrême négative. Il suffira alors d’un cran d’appréciation du bon côté sous-jacent à notre situation, la vie enchaînera automatiquement son processus d’épanouissement. Car ‘’ tout l’univers conspire avec celui qui s’engage à vivre sa légende personnelle’’.
Oui cela va automatiquement de soi, dès le moment où tu lâches un peu ta quête obsessionnelle et tu te contentes de gérer positivement tes émotions. C'est le 1er pas du voyage et le 1er acte de foi La gratitude à la vie et l’amour de soi, nous lanceront de l’autre côté de la montagne de difficultés et l’on commencera une descente plus aisée et plus confortable. On n’aura plus à se battre contre le poids de notre résistance. L’inversion de polarité commence à accélérer le processus de l’abondance et/ou de la guérison. Tout acte est une réussite et génère d’autres opportunités plus grandes.
La chanson qui dit ‘’Don’t worry, be happy’’ suggère qu’on a le choix. Oui, être inconditionnellement heureux c’est le but et c’est un choix qui se cultive graduellement. Cela commence par le choix délibéré de défaire l’inquiétude, la résistance et le jugement. (Ne condamne plus rien ni personne. Détourne-toi du mal )

Comme je l’ai tant de fois répété dans mes ateliers et mes livres : La pensée positive est une pensée active et créative, une pensée qui attise le désir de changement, une pensée qui génère un plaisir anticipé, ou du moins un soulagement progressif de la peine.

La sagesse pragmatique suggère de ne plus jamais penser que pour agir positivement ou pour se sentir mieux ou encore pour alléger sa peine. Toute autre pensée est vaine, peine perdue et tout à fait inutile. Ca si elle n’est pas carrément destructive. Toute pensée qui justifie l’inquiétude ou nourrit l’anxiété, la frustration ou le ressentiment, est une pensée corrosive, destructive et démagnétisante. C’est le vertige ! Sauve-qui-peut.

Cependant, il ne suffit pas de comprendre aussi parfaitement ces mécanismes. Il s’agit d’en faire un mode de pensée, un mode de vie et une nouvelle habitude qui supplantera le vieux système caduc. C’est ainsi la conclusion de ma conclusion.